“Il existe je ne sais quoi de grand et d'épouvantable dans le suicide.”

“Deux armées aux prises, c'est une grande armée qui se suicide.”

“Avec la musique j'ai lié partie pour une seconde seulement et maintenant je ne sais plus que penser du suicide car, si je veux me séparer de moi-même, la sortie est de ce côté et, j'ajoute malicieusement : l'entrée, la rentrée de cet autre côté.”

“Je sais ce que sont les bonnes morales,
mais tu es supposé ignorer les bonnes morales quand tu vis dans un monde fou et mauvais. Si tu es en enfer, comment peux-tu vivre comme un ange ? Tu es entouré de démons, tu essaies d'être un ange ? C'est comme un suicide.”

“J'ignore si les grandes époques font les grands hommes, mais je sais qu'elles les tuent.”

“Les maux de la résistances sont grands, je le sais, mais de la résignation ne sont-ils pas mille pire!”

“Est-il trop tard pour un suicide?”

“Prenez-vous plaisir à souffrir? demanda Samuel. Vous voyez-vous grand et tragique? — Je ne sais pas.”

“Tu penses que tu me tues. Je pense que tu te suicides.”

“Je ne sais pas si cela est juste. Mais je sais que seules les grandes épreuves, les grandes chutes, les grandes réussites et les grandes chances font un homme grand. Une vie nourrie par elles ne peut tout de même pas être considérée comme une série de hasards heureux. La foudre ne tombe pas toujours à la même place. Pour l'attirer il faut une substance propice. Le danger et le triomphe ne vont qu'à des têtes choisies et c'est elles seules qu'ils couronnent.”