Le Nautilus en brisait les eaux sous le tranchant de son éperon, après avoir accompli près de dix mille lieues en trois mois et demi, parcours supérieur à l'un des grands cercles de la terre. Où allions-nous maintenant, et que nous réservait l'avenir?
Part II, ch. VIII: Vigo Bay
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
Quotes from book
Twenty Thousand Leagues Under the Sea
Twenty Thousand Leagues Under the Seas: A World Tour Underwater is a classic science fiction adventure novel by French writer Jules Verne; it was first published in 1870.
“In the memory of the dead all chronological differences are effaced.”
Les différences chronologiques s'effacent dans la mémoire des morts.
Part I, ch. X: The Man of the Seas (Part I, ch. XI in the French text)
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
<p>Cet enlèvement, si brutalement exécuté, s'était accompli avec la rapidité de l'éclair... Un rapide frisson me glaça l'épiderme. A qui avions-nous affaire ? Sans doute à quelques pirates d'une nouvelle espèce qui exploitaient la mer à leur façon.</p><p>A peine l'étroit panneau fut-il refermé sur moi, qu'une obscurité profonde m'enveloppa.</p>
Part I, ch. VIII: Mobilis in Mobili
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
“The Earth does not want new continents, but new men.”
Ce ne sont pas de nouveaux continents qu'il faut à la terre, mais de nouveaux hommes!
Part I, ch. XVIII: Vanikoro (Boston: Geo. M. Smith & Co., 1873, p. 101) (Ch. XIX in the French text)
Tr. Walter James Miller (1966)
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
Variant: The planet doesn't need new continents, it needs new men.
Nous étions seuls. Où ? Je ne pouvais le dire, à peine l'imaginer. Tout était noir, mais d'un noir si absolu, qu'après quelques minutes, mes yeux n'avaient encore pu saisir une de ces lueurs indéterminées qui flottent dans les plus profondes nuits.
Part I, ch. VIII: Mobilis in Mobili
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
L'esprit humain se plaît à ces conceptions grandioses d'êtres surnaturels. Or la mer est précisément leur meilleur véhicule, le seul milieu où ces géants près desquels les animaux terrestres, éléphants ou rhinocéros, ne sont que des nains — puissent se produire et se développer.
Part I, ch. II: Pro and Con
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
“What good would it be to discuss such a proposition, when force could destroy the best arguments?”
A quoi bon discuter une proposition semblable, quand la force peut détruire les meilleurs arguments.
Part I, ch. X: The Man of the Seas
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
Voici la conclusion de ce voyage sous les mers. Ce qui se passa pendant cette nuit, comment le canot échappa au formidable remous du Maelstrom, comment Ned Land, Conseil et moi, nous sortîmes du gouffre, je ne saurai le dire.
Part II, ch. XXIII: Conclusion
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
“Freedom is worth paying for.”
La liberté vaut qu’on la paye.
Part II, ch. VIII: Vigo Bay
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
La mer est tout! Elle couvre les sept dixièmes du globe terrestre. Son souffle est pur et sain. C'est l'immense désert où l'homme n'est jamais seul, car il sent frémir la vie à ses côtés. La mer n'est que le véhicule d'une surnaturelle et prodigieuse existence; elle n'est que mouvement et amour.
Part I, ch. X: The Man of the Seas
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
“Whoever calls himself Canadian calls himself French.”
Part I, ch. IV: Ned Land
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)