
Si le viol, le poison, le poignard, l’incendie,
N’ont pas encor brodé de leurs plaisants dessins
Le canevas banal de nos piteux destins,
C’est que notre âme, hélas! n’est pas assez hardie.
Źródło: Przedmowa w: Kwiaty grzechu, wyd. Hieronim Cohn, Warszawa 1894, s. 16, tłum. Antoni Lange.