
C'est très bien de copier ce qu'on voit, c'est beaucoup mieux de dessiner ce que l'on ne voit plus que dans son mémoire. C'est une transformation pendant laquelle l'ingéniosité collabore avec la mémoire. Vous ne reproduisez que ce qui vous a frappé, c'est-à-dire le nécessaire.
Quoted in Maurice Sérullaz, L'univers de Degas (H. Scrépel, 1979), p. 13
quotes, undated