“[Union européenne] Faire entrer de nouveaux pays, ça on est doué : performant, glouton, on est, au point même que nos dirigeants d’alors ont ouvert la porte à douze nouveaux copains sans même avoir changé les règles du jeu. Tout confiants, exaltés par l’enthousiasme post 1989 et la volonté aveuglée d’un retour d’ex pays de l’Est dans le giron de l’Europe capitaliste. Inconséquents, concons comme leurs pieds nos dirigeants pour croire au même enthousiasme populaire sitôt les flonflons rangés et le sujet institutionnel à l’ordre du jour. Ah! le Chirac, quand il en balançait une, l’autre se décrochait! A force d’animer ses gonades avant d’écouter sa Raison, il a dézingué l’attelage européen.” Loïc Decrauze (1969) Viser la tête ! - Abécédaire d'un pamphlétaire au fil du temps, 2010 jeu , volonté , changement , pays
“J'apprends ce soir que l'Union soviétique n'existe plus. Gorbatchev (…) n'est plus maître que de ses gonades, à moins qu'il ne les ait, plus jeune, léguées aux hautes instances communistes.” Loïc Decrauze (1969) L'Illusoire Absolu, 1991 maîtresse
“Bilan des portraits politiques de Giesbert : de Villepin apparaît comme le plus détestable, imbu de lui-même, et son discours off le plus en décalage avec sa tartine démagogique officielle. Habitude langagière révélatrice du personnage : tout ramener au fait « d’en avoir ou pas… » dans le pantalon. Le critère des gonades semble être l’alpha et l’oméga de son sens critique. Des couilles pleins la bouche, il en sert à ses interlocuteurs en coulisse, certain d’être lui-même doté des plus impressionnants spécimens… Le désastre du CPE, cette piteuse retraite en rase campagne, a révélé la texture et le contenu de baudruche des testicules du Premier ministre, tout juste calibrés pour jouer aux billes. Exit le mauvais poète des roubignolles!” Loïc Decrauze (1969) Des Cyprès démesurés, 2006 Sens