Les dernières citations

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“Quand va-t-on enfin couper la tête à ces grues!”

“Le vérité mon amis, ce n'est pas qu'ils n'ont pas compris, c'est qu'ils n'ont pas voulu comprendre.”

“Vous n'avez qu'à voir ce qu'est devenu la volonté de mon père immédiatement après sa mort, et la volonté de tant d'autres rois. Je le sais bien; mais ils l'ont voulu; ils ne m'ont donné ni repos, ni calme jusqu'à ce que ce soit fait.”

“Nous devons définir la flatterie et la louange; elle sont distinctes.”

“J'ai des devoirs à accomplir. Je suis roi. Le mot implique une multitude d'obligations.”

“Si je n'avais pas ma famille avec moi, tout le monde verrait que je ne suis pas aussi faible qu'ils le croient.”

“Je dois toujours consulter l'opinion publique; elle n'est jamais fausse.”

“L'idée de la contre-révolution n'est jamais entrée dans ma tête.”

“Je ne ressentais pas de plus grand plaisir que celui de soulager les nécessiteux.”

“Ceci peut être considéré comme politiquement imprudent, mais cela semble être le souhait général et je veux être aimé.”

“Les intérêts de l'état doivent primer.”

“J'en sais une très-drôle. Il y avait à la porte de l'Assemblée nationale un crieur qui vendait les décrets aussitôt qu'ils étaient imprimés; pour abréger ses paroles, il criait: A deux sols, à deux sols, l'Assemblée nationale!
Un plaisant qui passait par là lui dit: Mon ami, tu nous dis bien ce qu'elle vaut, mais non pas ce qu'elle nous coûte. Avouez que c'est drôle.
M. l'abbé, qui nous a appris ce jeu, nous a bien dit, madame, que chacun était obligé de conter son histoire, mais il n'est pas du jeu de dire de qui on la tient.”

“Vous vous trompez, Monsieur l'abbé, répond Louis-Charles. Et pour preuve, je vous donne les trois. L'affirmatif, c'est quand je dis "mon abbé est un bon abbé. Le comparatif, quand je dis mon abbé est meilleur qu'un autre abbé. Et le superlatif, c'est quand je dis que ma maman est la plus aimable et la plus aimée de toutes les mamans.”

“Voilà vos étrennes; j'ai tenu ma promesse, et je sais lire à présent.”

“Il faut cependant que je sache combien j'ai de temps jusqu'au jour de l'an, puisque j'ai promis à maman de savoir lire pour ce jour-là. Donnez-moi, je vous prie, mon bon abbé, deux leçons par jour, et je m'appliquerai tout de bon.”

“Eh bien! maman, je le saurai pour vos étrennes.”

“Je suis bien aise, messieurs, d'être au milieu de vous tous.”

“Je suis, messieurs, ravi de vous voir, mais bien fâché d'être trop petit pour vous apercevoir tous. Monsieur, portez-moi dans vos bras, pour que je voie tous ces messieurs.”

“Ne soyez pas en peine, maman, je ne serai pas embarrassé.”