Le Pont de la mort, René Crevel, La Révolution Surréaliste, 7, 15 juin 1926, 27
Le Pont de la mort, 1926
“Le vaisseau fantôme écrit sa danse en plein ciel. Les murs s'écartent entre lesquels on voulut enchaîner les vents de l'esprit. Derrière les plis d'un velours trop lourdement paisible s'allume un soleil de soufre et d'amour. Les hommes du monde entier se comprennent par le nez.”
Le Pont de la mort, 1926
Citations similaires
“Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts.”
Misattributed
“Un désespoir paisible, sans convulsions de colère et sans reproches au ciel est la sagesse même.”
Journal d'un poète (1867)