“Et maintenant nous voulons que tout le monde dans tous les pays à travers le département de l'éducation de tous les gouvernements puisse développer le contenu intérieur de la vie. C'est très simple, d'allumer la lampe est si facile. Et pourtant, ce processus d'allumer la lampe est suffisant pour éliminer les difficultés dans l'obscurité.”

And now we are wanting everyone in every country through the education department of every government to unfold that inner content of life. It’s very simple to light the lamp is so easy. And yet that process of lighting the lamp is enough to eliminate the difficulties in the darkness.
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Adopté de Wikiquote. Dernière mise à jour 21 mai 2020. L'histoire

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“Et même dans le monde extérieur tout le monde veut aller en direction de plus grandes joies. Tout le monde suit la direction de la plus grande joie, parce ce qu'il y a de plus profond à chacun est véritablement la lampe allumée de la connaissance totale, la puissance organisatrice totale de la connaissance, ce n'est que du bonheur, il n'est pas nécessaire que les gens souffrent.”

Maharishi Mahesh Yogi (1917–2008)

Wherever there is greater joy, there is the direction of everyone’s activity, because the innermost of everyone is really the lighted lamp of Total Knowledge, total organising power of knowledge, it’s all bliss, it’s not necessary for the people to suffer.
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“J’ai connu quelqu’un, il y a longtemps. C’était un garçon ordinaire, sauf qu’il m’a tapé dans l’œil dès que je l’ai vu. Il était gentil, et tendre. J’ignore comment il a fait, mais au bout d’un flirt il a réussi à être le centre de l’univers pour moi. J’avais le coup de foudre toutes les fois qu’il me souriait, si bien que lorsqu’il me faisait la gueule quelquefois il me fallait allumer toutes les lampes en plein jour pour voir clair autour de moi. Je l’ai aimé comme c’est rarement possible.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

Par moments, au comble du bonheur, je me posais cette question terrible : et s’il me quittait ? Tout de suite, je voyais mon âme se séparer de mon corps. Sans lui, j’étais finie. Pourtant, un soir, sans préavis, il a jeté ses affaires dans une valise et il est sorti de ma vie. Des années durant, j’ai eu l’impression d’être une enveloppe oubliée après une mue. Une enveloppe transparente suspendue dans le vide. Puis, d’autres années ont passé, et je me suis aperçue que j’étais encore là, que mon âme ne m’a jamais faussé compagnie, et d’un coup, j’ai recouvré mes esprits... [...] Ce que je veux dire est simple, Amine. On a beau s’attendre au pire, il nous surprendra toujours. Et si, par malheur, il nous arrive d’atteindre le fond, il dépendra de nous, et de nous seuls, d’y rester ou de remonter à la surface. Entre le chaud et le froid, il n’y a qu’un pas. Il s’agit de savoir où mettre les pieds. C’est très facile de déraper. Une précipitation, et on pique du nez dans le fossé. Mais est-ce la fin du monde ? Je ne le pense pas. Pour reprendre le dessus, il suffit juste de se faire une raison.
L’Attentat, 2005

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