
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Jean-Jacques Rousseau
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Jean-Jacques Rousseau
A quelque amant néronien caché sous le felze, Venise offrira dans une heure le spectacle d’une ville délirante qui s’incendie.
Stelio sourit en remarquant à quel point ses familiers s’étaient imprégnés de son essence et combien profondément le sceau de son style s’était imprimé sur leurs esprits. Subitement s’offrit à son désir l’image de la Foscarina empoisonnée par l’art, chargée d’expérience voluptueuse, ayant le goût de la maturité et de la corruption dans sa bouche éloquente, ayant l’aridité de la vaine fièvre dans ses mains qui avaient exprimé le suc des fruits fallacieux, gardant les vestiges de cent masques sur ce visage qui avait simulé la fureur des passions mortelles. C’était ainsi que se la représentait son désir ; et il palpitait à la pensée que, tout à l’heure, il la verrait émerger de la foule comme de l’élément dont elle était l’esclave, et qu’il puiserait dans le regard de cette femme l’ivresse nécessaire.
Romans, Le Feu, 1900
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Fénelon
Cuando no sea más nada, ¿no seré más nada?¡Cómo quisiera no ser más nada cuando no sea más nada!.
es
“Le soir. La mer n'a plus de lumières et, comme aux temps anciens, tu voudrais dormir dans la mer.”
Cette citation de Paul Éluard provient d'une revue dirigée par André Breton. Elle figurera plus tard dans son recueil Capitale de la douleur (1926).
Capitale de la douleur, 1926
Variante: Le soir. La mer n'a plus de lumières et, comme aux temps anciens, tu voudrais dormir dans la mer.