“Sans se soucier de fêtes ou vigiles ou faire carême, ils "travaillèrent leur champ" et se donnèrent du bon temps tant que leurs jambes purent les porter.”

—  Boccace

Deuxième journée, 10

Adopté de Wikiquote. Dernière mise à jour 21 mai 2020. L'histoire
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Boccace 32
poète et romancier italien, ministre plénipotentiaire de la… 1313–1375

Citations similaires

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“Si on prenait quelques vacances et le temps de faire la fête,
Juste un jour de notre vie, ce serait tellement sympa!”

Madonna (1958) chanteuse américaine

If we took a holiday, took some time to celebrate,
Just one day out of life, it would be, it would be so nice!
en
Paroles de chansons

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“Il ne fait pas bon être mort, mais avec le temps, on doit pouvoir s’y faire”

Imre Kertész (1929–2016) écrivain hongrois

comme à tout
Journal de galère , Hongrie 1992, France 2010

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“[…] cette confusion des lieux de peur et des lieux de plaisir dans l'imaginaire européen, qui donne à chacun l'occasion de se rendre fantasmatiquement maître de l'espace destiné à l'asservissement du nombre, préfigure paradoxalement la fête révolutionnaire alors conçue comme « l'éveil d'un sujet collectif qui naît à lui-même, et qui se perçoit en toutes ses parties, en chacun de ses participants ». Et quand la première fête révolutionnaire aurait été la prise de la Bastille, c'est-à-dire la prise de possession collective d'un lieu clos ou bien l'abolition d'un décor qui sépare, le roman noir propose la même fête, mais à l'intérieur d'un décor où la séparation ne se serait maintenue que pour exalter la souveraineté de tous ceux qui s'en rendent fantasmatiquement maîtres. Ainsi niant à la fois le caractère exclusif de la fête aristocratique et le caractère collectif de la fête révolutionnaire, l'architecture noire ouvre un espace de subversion où le nombre délimite négativement le champ d'affirmation de l'unique pour en faire une prison, de même que l'unique y vient nier la possibilité d'un plaisir partagé, excluant tout ce qui s'oppose à sa propre satisfaction. Car illustrant l'idée fort répandue en cette fin de siècle que « l'extrême liberté de quelques-uns attente à la liberté de tous », les demeures du roman noir exposent aussi que la liberté de tous porte atteinte à la liberté de chacun dont elles esquissent les perspectives illimitées.”

Annie Le Brun (1942) poétesse française

Annie Le Brun cite ici à deux reprises Jean Starobinski (in l'Invention de la liberté).
Essai critique, Les châteaux de la subversion, 1982

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