“[…] je suis sans indulgence pour les ennemis de mon pays, je ne connais que la justice.”
Discours, Rapport au nom du Comité de salut public et du Comité de sûreté générale sur les personnes incarcérées, présenté à la Convention nationale le 8 ventôse an II (26 février 1794)
Louis Antoine de Saint-Just 41
homme politique français 1767–1794Citations similaires

Our Country will, I believe, sooner forgive an officer for attacking an enemy than for letting it [sic] alone.
en
À propos de l'attaque sur Bastia (3 mai 1794).

Let no man write my epitaph; for as no man who knows my motives dare now vindicate them, let not prejudice or ignorance asperse them. Let them and me rest in obscurity and peace, and my name remain uninscribed, until other times and other men can do justice to my character. When my country takes her place among the nations of the earth, then, and not till then, let my epitaph be written.
<div>Phrases prononcées par le prévenu à l'issue de son procès, juste avant le prononcé de la sentence de pendaison jusqu'à ce que mort s'ensuive, sentence exécutée le lendemain.</div><div style="margin-top: 0.5em">Ces phrases ont été retenues par la postérité comme le point d'orgue d'un long discours au cours duquel Robert Emmet fut interrompu à huit reprises par le juge John Toler (1745-1831), premier comte de Norbury, auquel le <span lang="en" xml:lang="en">Courts Service of Ireland</span>, sur son site Web, associe le surnom de <span lang="en" xml:lang="en">The "Hanging Judge"</span>, c'est-à-dire « le juge pendeur ».<div style="margin-top: 0.5em">Le mot <span lang="en" xml:lang="en">dock</span> désigne, en anglais, outre ses significations liées aux activités portuaires, le banc des accusés dans la salle d'audience d'une enceinte de justice.</div><div style="margin-top: 0.5em">L'article Robert Emmet, sur la Wikipédia en anglais, rapporte l'existence d'une version alternative des trois phrases concluant le discours du dock. Selon Charles Phillips, dans son ouvrage <span lang="en" xml:lang="en">Recollections of Curran and Some of His Contemporaries</span>, publié en 1818, la teneur des propos de Robert Emmet aurait été la suivante :</div><div style="margin: 0.5em 0 0.5em 2em"><span lang="en" xml:lang="en">I am here ready to die. I am not allowed to vindicate my character; no man shall dare to vindicate my character; and when I am prevented from vindicating myself, let no man dare to calumniate me. Let my character and my motives repose in obscurity and peace, till other times and other men can do them justice. Then shall my character be vindicated; then may my epitaph be written.</span></div>
en
Wikiquote
Discours du dock

I know war as few other men now living know it and nothing to me is more revolting. I have long advocated its complete abolition, as its very destructiveness on both friend and foe has rendered it useless as a means of settling international disputes.
en
Discours au Congrès lors de sa démission (18 avril 1951)
“La justice sans la compassion n'est plus justice.”
Cotton Point, 1988

“La justice sans la force est impuissante; la force sans la justice est tyrannique.”

“L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui!”
Manuel de savoir-vivre à l'usage des rustres et des malpolis
Variante: L'ennemi est con, il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui