“Dans la roseraie de Gérard, botaniste; à Fetter Lane, il se promène, grischâtain. Une campanule bleu azur comme ses veines à elle. Paupières de Junon, violettes. Il se promène. Une vie et c'est tout. Un corps Agos. Mais agis donc. Au loin, dans une puanteur de crasse et de fornication, des mains s'abattent sur de la chair blanche.”
Ulysse, 1922
Citations similaires
“La nuit semblait une paupière bleue tirée sur l’œil infini du mystère.”
Le Jade Et L'obsidienne: Roman

Le Rouge et le Noir, 1830
Variante: Un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l’azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l’homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé‚ d’être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l’inspecteur des routes qui laisse l’eau croupir et le bourbier se former.