“Je porte le deuil de ces souvenirs qu’on m’a confisqués. Mais que ceux qui œuvrent à la destruction de notre passé se rassurent : quoi qu’ils fassent, et même si je n’ai plus mes yeux pour voir, Beyrouth m’habite.”
Elle est hors de l’espace et du temps. Elle fait partie de ces lieux que nul ne peut envahir. Comme le paradis.
Le roman de Beyrouth, 2005
Thèmes
passé , destruction , habitation , yeux , port , passe , porte , porte-parole , portée , souvenir , pluie , deuil , voirieAlexandre Najjar 45
écrivain libanais 1967Citations similaires

“Nous avons de quoi saisir ce qui n'existe pas et de quoi ne pas voir ce qui nous crève les yeux.”
Mauvaises pensées et autres

Du kannst jemanden, der die Augen verbunden hat, noch so sehr aufmuntern, durch das Tuch zu starren, er wird doch niemals etwas sehen; erst wenn man ihm das Tuch abnimmt, kann er sehen.
de
Le Château