“J'ai vécu.”

“Je ne suis pas la rose, mais j’ai vécu avec elle.”

“Car j'ai vécu de vous attendre,
Et mon coeur n'était que vos pas.”

“N'est-ce pas avoir assez vécu que de mourir sans regret?”

“De n’avoir jamais vécu m’aidera-t-il à mourir?”

“Je ne veux pas mourir sans avoir compris pourquoi j’avais vécu.”

“Chaque jour était fait pour être vécu ou pour quitter ce monde.”

“Elle avait vécu seule sans se douter de ce qu'est la solitude. On parle de la solitude, mais on ne la connaît pas.”

“Eût-elle vécu milles années, elle n'avait plus rien de semblable à connaître.”

“J'ai du mal à me représenter un jour sans lecture, et je me demande souvent si je n'ai pas au fond vécu en lecteur. Le monde des livres serait alors le monde authentique pour lequel le vécu ne représenterait que la confirmation espérée — et cette espérance serait sans cesse déçue.”