citations sur l'amour et citations d'amour

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“Le chrétien est un homme libre, maître de toutes choses; il n'est soumis à personne.
Le chrétien est un serviteur plein d'obéissance, il se soumet à tous.”

Martin Luther (1483–1546) théologien allemand, père du protestantisme

De la liberté du chrétien (Von der Freiheit eines Christenmenschen), 1520

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“Je n'ai jamais aimé un peuple. Pourquoi devrais-je aimer les juifs? Je n'aime que mes amis, c'est tout! C'est le seul et unique amour dont je suis capable.”

Hannah Arendt (1906–1975) philosophe américaine d'origine allemande

Hannah Arendt (film), 2013

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“Les passions ne sont que nature ; c’est le non repentir qui est corruption.”

Joseph Joubert (1754–1824) philosophe et essayiste français

Tome 1

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“La Bouteille éclate, — le Vin coule; — le Crime naît, et l'Amour vient.”

Xavier Forneret (1809–1884) écrivain, poète, dramaturge et journaliste français

Encore un an de Sans titre (1840)

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“L'aimant humilie le fer. C'est une théorie de l'amour.”

Marco Denevi (1922–1998) écrivain argentin

El imán humilla al hierro. Es una teoría sobre el amor.
es

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“Envoyez-moi votre fille, écrivait saint Jérôme à Læta; je me charge de l’élever. » « Gardez auprès de vous votre fille, » répond Fénelon à une mère qui lui avait demandé son avis. Le conseil était nouveau. Le couvent était resté la ressource commune, presque la seule ressource d’éducation pour les jeunes filles. Fénelon n’hésite pas à en signaler les dangers. « J’estime fort l’éducation des bons couvents, dit-il en substance, mais je compte encore plus sur les soins d’une bonne mère, quand elle est libre de s’y appliquer. Si un couvent n’est pas régulier, c’est une école de vanité : les jeunes filles n’y entendent parler du monde que comme d’une espèce d’enchantement; il n’est pas de poison plus subtil; mieux vaut le monde lui-même qu’un couvent mondain. Si l’établissement est demeuré fidèle à l’esprit de son institut, l’ignorance absolue du siècle y règne : l’enfant qui en sort pour entrer dans la vie est comme une personne qu’on aurait nourrie dans les ténèbres d’une profonde caverne, et qu’on ferait tout d’un coup passer au grand jour; rien ne peut être plus redoutable pour une imagination vive que cette surprise soudaine. C’est à la mère sage et discrète qu’il convient d’introduire peu à peu la jeune fille dans la société où elle doit vivre, et d’y accoutumer sa vue. Elle seule d’ailleurs peut découvrir dans son esprit et dans son cœur les mouvements qu’il importe de connaître pour la bien diriger.”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Fénelon