
“When a man is prey to his emotions, he is not his own master.”
Part IV, Preface; translation by R. H. M. Elwes
Ethics (1677)
Humanam impotentiam in moderandis et coercendis affectibus servitutem voco; homo enim affectibus obnoxius sui juris non est sed fortunæ in cujus potestate ita est ut sæpe coactus sit quanquam meliora sibi videat, deteriora tamen sequi.
“When a man is prey to his emotions, he is not his own master.”
The last sentence is from the 16 October 1854 Peoria speech, slightly paraphrased. No known contemporary source for the rest. It first appears, attributed to Lincoln, in US religious/inspirational journals in 1907-8, such as p123, Friends Intelligencer: a religious and family journal, Volume 65, Issue 8 (1908)
Misattributed
Martin Seymour-Smith Guide to Modern World Literature (London: Hodder & Stoughton, [1973] 1975) vol. 1, p. 337.
Criticism
Ch 2 : The Nature of Creativity, p. 49
The Courage to Create (1975)
Ménippe est l'oiseau paré de divers plumages qui ne sont pas à lui. Il ne parle pas, il ne sent pas; il répète des sentiments et des discours, se sert même si naturellement de l'esprit des autres qu'il y est le premier trompé, et qu'il croit souvent dire son goût ou expliquer sa pensée, lorsqu'il n'est que l'écho de quelqu'un qu'il vient de quitter.
Aphorism 40
Les Caractères (1688), Du mérite personnel
Source: Treason of the Intellectuals (1927), pp. 126-127 (regarding homo faber)
Second Dialogue; translated by Judith R. Bush, Christopher Kelly, Roger D. Masters
Dialogues: Rousseau Judge of Jean-Jacques (published 1782)
Michel Henry, C'est moi la Vérité, éd. du Seuil, 1996, p. 291
Books on Religion and Christianity, I am the Truth. Toward a philosophy of Christianity (1996)
Original: (fr) Mais quand donc ce bouleversement émotionnel qui ouvre le vivant à sa propre essence se produit-il et pourquoi ? Nul ne le sait. L’ouverture émotionnelle du vivant à sa propre essence ne peut naître que du vouloir de la vie elle-même, comme cette re-naissance qui lui donne d’éprouver soudain sa naissance éternelle. L’Esprit souffle où il veut.