Les Caractères, 1696
Citations du livre
Les Caractères
Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle est une œuvre de Jean de La Bruyère publiée pour la première fois en 1688 à Paris.
Les Caractères (1688), Des biens de fortune
Les Caractères, 1696
Variante: Il apparaît de temps en temps sur la surface de la terre des hommes rares, exquis, qui brillent par leur vertu, et dont les qualités éminentes jettent un éclat prodigieux. Semblables à ces étoiles extraordinaires dont on ignore les causes, et dont on sait encore moins ce qu'elles deviennent après avoir disparu, ils n'ont ni aïeuls, ni descendants: ils composent seuls toute leur race.
“L'on voit bien que l'Opéra est l'ébauche d'un grand spectacle : il en donne l'idée.”
Les Caractères, 1696
Variante: L'on voit bien que l'Opéra est l'ébauche d'un grand spectacle; il en donne l'idée.
“L'une des marques de la médiocrité de l'esprit est de toujours conter.”
Les Caractères (1688), Des jugements
Les Caractères (1688), Des Ouvrages de l'Esprit
“Entre le bon sens et le bon goût il y a la différence de la cause à son effet.”
Les Caractères (1688), Des jugements
Les Caractères (1688), Des biens de fortune
“Rire des gens d'esprit, c'est le privilège des sots.”
Les Caractères (1688), De la société et de la conversation
“[I]l semble que le mariage met tout le monde dans son ordre.”
Les Caractères (1688), Du mérite personnel
“Les femmes sont extrêmes: elles sont meilleures ou pires que les hommes.”
Les Caractères (1688), Des Femmes
Les Caractères (1688), Du mérite personnel
