Citations du livre
Le Rouge et le Noir
Le Rouge et le Noir, sous-titré Chronique du XIXe siècle, puis Chronique de 1830, est un roman écrit par Stendhal, publié pour la première fois à Paris chez Levasseur le 13 novembre 1830, bien que l'édition originale mentionne la date de 1831. C'est son deuxième roman, après Armance.

“Quitte-t-on sa maîtresse, on risque, hélas! d'être trompé deux ou trois fois par jour.”
Le Rouge et le Noir (The Red and the Black) (1830)

“Le pire des malheurs en prison […] c'est de ne pouvoir fermer sa porte.”
Le Rouge et le Noir, 1830

Le Rouge et le Noir, 1830
Variante: Un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l’azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l’homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé‚ d’être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l’inspecteur des routes qui laisse l’eau croupir et le bourbier se former.

“L’idée la plus utile aux tyrans est celle de Dieu.”
Le Rouge et le Noir, 1830

“Les Russes copient les moeurs françaises, mais toujours à cinquante ans de distance.”
Le Rouge et le Noir (The Red and the Black) (1830)

“Jamais il ne s'était trouvé aussi près de ces terribles instruments de l'artillerie féminine.”
Le Rouge et le Noir (The Red and the Black) (1830)