“Il s’est jeté dans ses bras, il la serre à la broyer, il la couvre de baisers avec une impétuosité sans nom. Elle veut parler, il lui ferme la bouche de ses lèvres, et il l’embrasse avec furie, sur les cheveux, le front, les yeux, le cou, les épaules, les bras, les mains, partout où sa bouche rencontre la chair de sa bien-aimée. C’est une scène indescriptible de félicité, de délire, de bonheur surhumain. Je me retire, complètement étourdie de ce que je viens de voir. La violence de cet amour surpasse tout ce que je pouvais imaginer. Et l’homme qui aime ainsi, c’est Lui, l’idole des foules, c’est le général Boulanger!”
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Dernière mise à jour 21 mai 2020.
L'histoire
Thèmes
baiser , amour , hommes , bonheur , homme , nom , main , scène , violence , bras , cheveux , bien-être , foule , bouche , ferme , épaule , cou , parlement , baisse , lèvre , imagination , chair , main- , rencontres , front , boulanger , généralisation , complet , délire , voirie , fur , tout , idole , serre , félicitation , yeux , embrasementMarie Quinton 1
1854–1933Citations similaires
Les années perdues

“La mort et la destruction sont jamais plus loin que la bouche qu'on veut embrasser.”
Barry Gifford
(1946)
Rude journée pour l'homme léopard, 1991