Mémoires, Mes
“Je crois que Berlioz a trop aimé Shakespeare, Byron et Goethe; lui-même l'a avoué sans en avoir conscience. […] Il appelle Goethe et Shakespeare les « explicateurs de vie ». Ce mot, quand on y réfléchit, est terrible. [..; ] On assiste à un curieux phénomène de mysticisme poétique, conduisant comme l'autre à de graves désordres du système nerveux, à un cruel et interminable supplice qui ronge peu à peu l'existence et ne se termine qu'à la mort.”
Regard sur mes contemporains, ed. 1990
Citations similaires
L'Œuvre de Jung et la psychologie complexe, Charles Baudouin, Payot & Rivages, Petite Bibliothèque Payot, 2002, 1963, 79, I. Idées directrices, II. Les structures de l'inconscient — L'inconscient collectif, Diverses conceptions de l'inconscient collectif, 2-228-89570-9
L'Œuvre de Jung et la psychologie complexe, 1963, Idées directrices
“Quand on y réfléchit bien, peu de choses sont à la hauteur de leur réputation.”
La Dimension des miracles, 1973
“Perdre quelqu'un qu'on a aimé est terrible, mais le pire serait de ne pas l'avoir rencontré.”
Le premier jour
Fractales, hasard et finance, 2009
Article, Sieyès, Herder, Goethe : l’universel et le national, 1989
“Quand ta douleur est un peu plus grande que ma douleur, je me sens un peu cruel.”
Cuando tu dolor es un poco mayor que mi dolor, me siento un poco cruel.
es