“Je suis obligée de te quitter. Je te serai une autre femme. Va vers elle, trouve-la, donne-lui ce que je te laisse, il faut que cela demeure. Sans féminité, tu ne pourras pas vivre ces heures, ces années, cet arrachement, cette bestialité que l'on appelle si flatteusement, si pompeusement : « le destin.»”
Clair de femme, 1977
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                        La Dialectique éristique publiée en Français sous le titre L'Art d'avoir toujours raison, 1830
 
                            
                        
                        
                        
                                        
                                        Alcools 
Variante: Sous le pont Mirabeau coule la Seine
 Et nos amours
 Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
 Vienne la nuit sonne l'heure
 Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
 Tandis que sous
 Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
 Vienne la nuit sonne l'heure
 Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
 L'amour s'en va
 Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
 Vienne la nuit sonne l'heure
 Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
 Ni temps passé 
 Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
 Vienne la nuit sonne l'heure
 Les jours s'en vont je demeure
                                    
 
                            
                        
                        
                        Écrits théoriques, Institutions républicaines
 
        
     
                             
                             
                             
                            