“Du côté des Soviets, il faut dire que c'était une nécessité vitale de maintenir les armées allemandes sur des bases de départ aussi éloignées à l'Ouest que possible (…) Aujourd'hui leurs frontières passaient beaucoup plus loin à l'Est que lors de la précédente guerre. Il leur fallait occuper les États baltes et une grande partie de la Pologne par la force ou par la ruse avant d'être eux-mêmes attaqués. La politique qu'ils pratiquaient dénotait un grand sang-froid et elle était même, en l'occurrence, réaliste au plus haut point.”
Thèmes
faute , guerre , état , point , partie , côté , force , politique , attaque , arme , sang , haut , nécessité , frontière , bien-être , armée , département , être , avant , grand , part , pluie , haut-parleur , pointe , hauteur , occupation , allemand , froid , départ , occurrence , soviétique , possible , éloignement , précédent , dire , ruse , est-ouest , loinWinston Churchill 23
homme d'État britannique 1874–1965Citations similaires
American black box. Le Théâtre des opérations 3, 2002-2006

propos de Franz Ludwig comte Stauffenberg, fils d'un des acteurs de l'opération Walkyrie
Opération Walkyrie

à Tito en avril 1945 à propos de la Seconde Guerre mondiale, cité par Milovan Djilas dans Conversations avec Staline (1963)
Seconde Guerre mondiale
Je parle surtout des Harkis...
Le Sang d'Algérie, 1992