
Discours prononcé par Pierre Mendès France le 25 octobre 1965.
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Discours prononcé par Pierre Mendès France le 25 octobre 1965.
La citation complète est : « Je pense très profondément que nous sommes dans un pays qui est malade de sa mémoire […] et qui ne parvient pas à revenir sur la scène, la scène initiale qui est celle d'une France qui n'a pas pu s'opposer, et je dis ça parce que le héros, la statue de héros qu'on a créée autour de mon père, presque malgré lui parce qu'il est presque une victime, c'est une statue de surhomme, c'est un miroir du surhomme nazi, fasciste, on a voulu créer, cette France post-Vichy, pétainiste, a voulu créer une chose énorme qui pouvait restaurer l'égo français. Et ce que je dis c'est qu'aujourd'hui, soixante-deux ans après, on vit toujours avec cette lecture de 1950 et je pense que cette imposture, cette manière de s'arranger avec l'histoire, a fracassé mon frère, littéralement fracassé, qui devait être l'héritier de cette chose énorme et monstrueuse qui sonnait faux, enfant ça sonnait faux sans arrêt. »
“Quand on a aimé quelqu'un, il reste toujours quelque chose.”
L'angoisse du roi Salomon, 1979
Les Harkis au service de la France, 1963
Étude sur 14000 enfants britanniques (Source : AFP 10 février 2011)
S’alimenter selon les âges et les saisons, 2012
Nelly Arcan, Folle, Éditions du Seuil, Paris, 2004, 126
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