“Voyez le travail machinal et monstrueux des candidats qui aspirent aux grandes écoles, puis, au sortir de ces mêmes écoles, la fatigue profonde, l'allanguissement, la flânerie au café ou à domicile, l'inertie bureaucratique ou provinciale. Comparez l'élève de l'École polytechnique, cloué quatorze heures par jour devant des formules, et l'ingénieur qui va bâiller, sa femme au bras, pour voir si ses cailloux sont bien cassés. Avec cet encombrement des carrières et cette réglementation des étapes, nous parvenons d'abord à essouffler nos chevaux de course, ensuite à les changer en bidets de fiacre.”
Notes sur Paris: vie et opinions de Frédéric-Thomas Graindorge
Thèmes
café , changement , femmes , école , jour , femme , travail , heure , candidat , course , carrière , bras , bien-être , grand , cheval , réglementation , ingénieur , courses , formule , clou , bail , domicile , abord , encombrement , provincial , élève , voirie , bureaucratie , sortir , fatigue , case , inertie , caillou , devant , quatorzièmeHippolyte Taine 18
philosophe et historien français 1828–1893Citations similaires

In the free society envisioned by the founders, schools are held accountable to parents, not federal bureaucrats.
en
Débats parlementaires

Utopie des usuriers, 1917

“Travailler pour Stanley, c'est comme aller à l'école et en plus toucher un salaire.”
Jonh Alcott, chef-opérateur
À propos de Stanley Kubrick