
Le plus petit baiser jamais recensé
Les Fabliaux : études de littérature populaire et d’histoire littéraire du Moyen Âge
Le plus petit baiser jamais recensé
Arma graui numero uiolentaque bella parabam
Edere, materia conueniente modis.
Par erat inferior uersus ; risisse Cupido
Dicitur atque unum surripuisse pedem.
la
Début du premier poème du premier livre. Catulle y justifie son emploi du distique élégiaque (type de vers faisant alterner un hexamètre dactylique et un pentamètre iambique plus court, par distinction avec l'épopée qui utilisait uniquement l' Hexamètre dactylique ), en se mettant en scène victime d'une farce de Cupidon.
Les Amours
“Les contes de fées sont les romans érotiques des enfants.”
“L'une des marques de la médiocrité de l'esprit est de toujours conter.”
Les Caractères (1688), Des jugements
“Mais le rire, le rire… C’est une espèce de convulsion absurde et vulgaire…”
Films, Le Schpountz, 1937-1938
“Tout ce que veulent les contes, c'est une fin heureuse. Pour qui? ils s'en fichent.”
Les Annales du Disque-monde, Mécomptes de fées, 1991
“Rire à se pâmer. Et je le dis à nouveau, ce rire élève au-dessus de l'animal.”
Journal, 1957
“A force d'êtres contées, les légendes prennent consistance.”
Le Cardinal des étoiles, 1964
“Un conte sans amour est comme du boudin sans moutarde; c’est chose insipide.”