“J'ai été obligé d'arrêter la cigarette lorsque ma consommation quotidienne a dépassé le seuil fatidique des trois paquets par jour; j'en suis désormais à deux paquets de tabac à pipe par jour. En outre, et sans la moindre exagération, je bois une vingtaine de tasses de café par tranche de vingt-quatre heures et dors environ cinq heures par nuit. Bien entendu, je suis nerveux comme un chat la plupart du temps, d'humeur désagréable, voire massacrante. J'adopte ici une attitude arrogante pour ne pas dire rébarbative qui tient la plupart des crétins à bonne distance.”
Lettre datée du 22 septembre 1956 adressée à Gerald "Ching" Tyrell
Correspondance, 1956
Thèmes
chat , café , humeur , temps , distance , nuit , jour , heure , consommateur , environnement , bien-être , attitude , bois , cigarette , obligation , tasse , consommation , paquet , arête , deux , tranchée , seuil , dire , quotidien , voirie , tabac , bonne , dépassement , plupart , cinq , vingtaineHunter S. Thompson 12
journaliste et écrivain américain 1937–2005Citations similaires

Alcools
Variante: Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

“Vienne la nuit sonne l'heure / Les jours s'en vont je demeure.”