“Quoi que vous fassiez, écrasez l'infâme, et aimez qui vous aime.”

“Quand vous aimez un homme, vous ne le lui dites pas?
- Pas forcément.
- Qu'est ce qui vous en empêche?
- La peur, répondit Mia.
- La peur de quoi?
- La peur de faire peur.
- Qu'est ce que c'est compliqué tout ça! Alors que faut-il faire, dire ou ne pas dire, quand on aime quelqu'un.
- Il faut attendre un peu.
- Attendre quoi, qu'il soit trop tard?
- Qu'il ne soit pas trop tôt.
- Et comment sait-on que le moment est venu de révéler la vérité?
- Quand on se sent rassuré, je suppose.”

“Vous n'aimez pas quelqu'un parce qu'il est parfait. Vous les aimez malgré le fait qu'ils ne le sont pas.”

“L'obligation d'amour est une violence inouïe faite à votre dignité et votre liberté de pensée : connaissez-vous quelque chose de plus totalitaire que l'injonction "aimez-vous les uns les autres"? Et quoi de plus abjecte que ceux de gauche qui servent cet impératif par la loi?”

“Il faut aimer n'importe qui, n'importe quoi, n'importe comment, pourvu qu'on aime.”

“Voulez-vous ne pas rester oisifs? Aimez.”

“L'amour est toujours devant vous. Aimez.”

“si vous m'aimez, monsieur, vous devez vouloir tout ce que je veux.”

“Qui peut vivre infâme est indigne du jour.”

“Mais le plus dur est de penser que le corps de la personne que vous avez aimée, que vous aimez toujours, votre père, votre femme, votre enfant, sera tripoté en dernier lieu par des inconnus patentés, oh! bien sûr, avec tout le savoir-faire acquis à l’École Nationale des Métiers du Funéraire, et qui méritent bien leur salaire pour vous avoir laissé les mains propres.”