
As quoted in a eulogy for Darrow by Emanuel Haldeman-Julius (1938)
1950 entry, quoted in Gayle Wurst, Voice and Vision: The Poetry of Sylvia Plath (1999), p. 158
The Unabridged Journals of Sylvia Plath (2000)
As quoted in a eulogy for Darrow by Emanuel Haldeman-Julius (1938)
As quoted in Joe Satriani : Riff By Riff (1994) by Rich Maloof.
Source: Soldiers Live (2000), Chapter 33, “Khatovar: Leave-taking” (p. 488)
Original: Je suis un grand artiste et je le sais. C'est parce que je le suis que j'ai tellement enduré de souffrances. Pour poursuivre ma voie, sinon je me considérerai comme un brigand. Ce que je suis du reste pour beaucoup de personnes. Enfin, qu'importe! Ce qui me chagrine le plus c'est moins la misère que les empêchements perpétuels à mon art que je ne puis faire comme je le sens et comme je pourais le faire sans la misère qui me lie les bras. Tu me dis que j'ai tort de rester éloigné du centre artistique. Non, j'ai raison, je sais depuis longtemps ce que je fais et pourquoi je le fais. Mon centre artistique est dans mon cerveau et pas ailleurs et je suis fort parce que je ne suis jamais dérouté par les autres et je fais ce qui est en moi.
Source: 1890s - 1910s, The Writings of a Savage (1996), pp. 53-54: Quote in a letter to his wife, Mette (Tahiti, March 1892)
Letter to Lord Godolphin (12 September 1707), from Edward Gregg, Queen Anne (Yale University Press, 2001), p. 250.
Source: Poems of Fernando Pessoa