“Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir; coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s´écartent,
Et, sans savoir pourquoi, disent toujours: Allons!
Ceux-là dont les désirs ont la forme des nues,
Et qui rêvent, ainsi qu´un conscrit le canon,
Des vastes voluptés, changeantes, inconnues,
Et dont l´esprit humain n´a jamais su le nom!”
Dernière mise à jour 18 janvier 2019.
L'histoire