“L’aveu des fautes ne coûte guère à ceux qui sentent en eux de quoi les réparer.”
Avis d’une mère à son fils, 1726
“L’aveu des fautes ne coûte guère à ceux qui sentent en eux de quoi les réparer.”
Avis d’une mère à son fils, 1726
D'autres auteurs la concernant
“Il faut bien plus d’esprit pour plaire avec de la bonté qu’avec de la malice.”
Lettre à Madame la Supérieure de la Magdeleine de Tresnel, sur l’Éducation d’une jeune Demoiselle. (vers 1715)
Correspondance
“S’il ne faut pas toujours dire ce que l’on pense, il faut toujours penser ce que l’on dit.”
Avis d’une mère à son fils, 1726
“Pour juger de quelqu’un, il faut lui avoir vu jouer le dernier rôle.”
Traité de la Vieillesse, 1732