
“Limited in his nature, infinite in his desires, man is a fallen god who remembers the heavens.”
Méditations Poétiques (1820), Sermon 2
Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent generalement telecharger une copie gratuite scannee du livre original (sans les coquilles) aupres de l'editeur. Non reference. Non illustre. 1823 edition. Extrait: ...La mort m'entoure en vain de ses ombres funebres, Ma raison voit le jour a travers ses tenebres, C'est le dernier degre qui m'approche de toi, C'est le voile qui tombe entre ta face et moi. Hate pour moi, Seigneur, ce moment que j'implore, Ou, si dans tes secrets tu le retiens encore, Entends du haut du ciel le cri de mes besoins; L'atome et l'univers sont l'objet de tes soins, Des dons de ta bonte soutiens mon indigence, Nourris mon corps de pain, mon ame d'esperance, Rechauffe d'un regard de tes yeux tout-puissants; Mon esprit eclipse par l'ombre de mes sens; Et, comme le soleil aspire la rosee, Dans ton sein, a jamais, absorbe ma pensee. MEDITATION DIX-SEPTIEME..nttocrtfion. O Toi qui m'apparus dans ce desert du monde, Habitante du ciel, passagere en ces lieux! O toi qui fis briller dans cette nuit profonde Un rayon d'amour a mes yeux; A mes yeux etonnes montre-toi tout entiere, Dis-moi quel est ton nom, ton pays, ton destin. Ton berceau fut-il sur la terre? Ou n'es-tu qu'un souffle divin? Vas-tu revoir demain l'eternelle lumiere? Ou dans ce lieu d'exil, de deuil, et de misere, Dois-tu poursuivre encor ton penible chemin? Ah! quel que soit ton nom, ton destin, ta patrie, Ou fille de la terre, ou du divin sejour, Ah! laisse-moi, toute ma vie, T'offrir mon culte ou mon amour. Si tu dois, comme nous, achever ta carriere, Sois mon appui, mon guide, et souffre qu'en tous lieux De tes pas adores je baise la poussiere. Mais si tu prends ton vol, et si loin de nos yeux, S ur des anges, bientot tu remontes pres d'eux, Apres m'avoir...
“Limited in his nature, infinite in his desires, man is a fallen god who remembers the heavens.”
Méditations Poétiques (1820), Sermon 2