
Je le prends deux fois par semaine, Haydn quatre fois et Mozart tous les jours. Vous me direz, Beethoven est un colosse, qui vous donne souvent des coups de poing dans les côtes, tandisque Mozart est toujours adorable. C'est que lui a eu la chance d'aller très jeune en Italie à un époque, où l'on chantait encore bien.
Alfred Christlieb Kalischer Beethoven und seine Zeitgenossen (1908) p. 83. Translation from Charlotte Moscheles (trans. A. D. Coleridge) Life of Moscheles (1873) vol. 2, p. 275.