All and Everything: Beelzebub's Tales to His Grandson (1950)
“Every one of those unfortunates during the process of existence should constantly sense and be cognizant of the inevitability of his own death as well as of the death of everyone upon whom his eyes or attention rests. Only such a sensation and such a cognizance can now destroy the egoism completely crystallized in them that has swallowed up the whole of their Essence, and also that tendency to hate others which flows from it.”
All and Everything: Beelzebub's Tales to His Grandson (1950)
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G. I. Gurdjieff 62
influential spiritual teacher, Armenian philosopher, compos… 1866–1949Related quotes

Source: The Characteristics of the Present Age (1806), p. 14

“God is a flowing well which constantly may pour
Into his whole Creation, and yet be as before.”
The Cherubinic Wanderer

On finira sans doute plus vite par comprendre que les anarchistes ont raison lorsqu'ils disent que pour avoir la tranquillité morale et physique, il faut détruire les causes qui engendrent les crimes et les criminels : ce n'est pas en supprimant celui qui, plutôt que de mourir d'une mort lente par suite de privation qu'il a eues et aurait à supporter, sans espoir de les voir finir, préfère, s'il a un peu d'énergie, prendre violemment ce qui peut lui assurer le bien-être, même au risque de sa mort qui ne peut être qu'un terme à ses souffrances.
Trial statement

Source: Man for Himself (1947), Ch. 3 "Human Nature and Character

La peinture est le plus beau de tous les arts; en lui se résument toutes les sensations, à son aspect chacun peut, au gré de son imagination, créer le roman, d'un seul coup d'œil avoir l'âme envahie par les plus profonds souvenirs; point d'effort de mémoire, tout résumé en un seul instant. — Art complet qui résume tous les autres et les complète. — Comme la musique, il agit sur l'âme par l'intermédiaire des sens, les tons harmonieux correspondant aux harmonies des sons; mais en peinture on obtient une unité impossible en musique où les accords viennent les uns après les autres, et le jugement éprouve alors une fatigue incessante s'il veut réunir la fin au commencement. En somme, l'oreille est un sens inférieur à celui de l'œil. L'ouïe ne peut servir qu'à un seul son à la fois, tandis que la vue embrasse tout, en même temps qu'à son gré elle simplifie.
Quote of Gauguin from: Notes Synthéthiques (ca. 1884-1885), ed. Henri Mahaut, in Vers et prose (July-September 1910), p. 52; translation from John Rewald, Gauguin (Hyperion Press, 1938), p. 161.
1870s - 1880s