Citations du livre
Fureur et Mystère
Fureur et Mystère est un recueil de poésie de René Char publié en 1948, dont font partie notamment Fontaine narrative, Feuillets d'Hypnos et Seuls demeurent.

“L'éternité n'est guère plus longue que la vie.”
Fureur et mystère, 1948, Feuillets d'Hypnos (1943-1944)

“Le cendres du froid sont dans le feu qui chante le refus.”
Fureur et mystère, 1948, Feuillets d'Hypnos (1943-1944)

“J'ai, captif, épousé le ralenti du lierre à l'assaut de la pierre de l'éternité.”
Fureur et mystère, 1948, Seuls demeurent (1938-1944)

“Sur les arêtes de notre amertume, l'aurore de la conscience s'avance et dépose son limon.”
Fureur et mystère, 1948, Seuls demeurent (1938-1944)

“Agir en primitif et prévoir en stratège.”
Fureur et mystère, 1948, Feuillets d'Hypnos (1943-1944)

“Tiens vis-à-vis des autres ce que tu t'es promis à toi seul. Là est ton contrat.”
Fureur et mystère, 1948, Feuillets d'Hypnos (1943-1944)

“J'ai marché sur le miroir d'une rivière pleine d'anneaux de couleuvre et de danses de papillons.”
Fureur et mystère, 1948, Le Poème pulvérisé (1945-1947)

“Tu ne peux pas te relire mais tu peux signer.”
Fureur et mystère, 1948, Feuillets d'Hypnos (1943-1944)

ou verger fou
Fureur et mystère, 1948, Feuillets d'Hypnos (1943-1944)