Citations du livre
Capitale de la douleur
Capitale de la douleur est un recueil de poèmes du poète surréaliste français Paul Éluard, paru pour la première fois en septembre 1926. Il se classe à la 60e place de la liste des 100 meilleurs livres du XXe siècle établie par la Fnac et Le Monde.

“Grand pays de bronze de la belle époque, par tes chemins en pente douce, l'inquiétude a déserté.”
Capitale de la douleur, 1926

“Le soir. La mer n'a plus de lumières et, comme aux temps anciens, tu voudrais dormir dans la mer.”
Cette citation de Paul Éluard provient d'une revue dirigée par André Breton. Elle figurera plus tard dans son recueil Capitale de la douleur (1926).
Capitale de la douleur, 1926
Variante: Le soir. La mer n'a plus de lumières et, comme aux temps anciens, tu voudrais dormir dans la mer.

“Les lignes de la main, autant de branches dans le vent tourbillonnant.”
Capitale de la douleur, 1926

“Ce sont ses yeux qui la ramènent dans mes songes. Presque immobile, à l'aventure.”
Capitale de la douleur, 1926

“L'image d'homme rêve, mais plus rien n'est accroché à ses rêves que la nuit sans rivale.”
Capitale de la douleur, 1926

“Caresse l'horizon de la nuit, cherche le cœur de jais que l'aube recouvre de chair.”
Capitale de la douleur, 1926