“Vous aves poison au coeur, mademoiselle.”

“Louis Quinze aimait peu les parfums. Je l'imite
Et je leur acquiesce en la juste limite.
Ni flacons, s'il vous plait, ni sachets en amour!
Mais, o qu'air naif et piquant flotte autour
D'un corps, pourvu que l'art de m'exciter se trouve;
(…)
Des lors, voudrais-je encore du poison etranger,
D'un fragrance prise a la plante, a la bete,
Qui vous tourne le coeur et vous brule la tete,
Puisque j'ai, pour magnifier la volupte,
Proprement la quintessence de la beaute.

L'emotion profonde du soir et le bonheur triste des coeurs fideles.”

“Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur?

Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits!
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie!

Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s'écoeure.
Quoi! nulle trahison?
Ce deuil est sans raison.

C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine!”

“(…) j'avais le paradis dans le coeur.”

“… nous savoir ce coeur lourd…”

“¡Le Venezuela est Blessée au coeur!.”

“Il n’est pire exil que celui du coeur”

“Car j'ai vécu de vous attendre,
Et mon coeur n'était que vos pas.”

“Coeur qui soupire n'a pas ce qu'il desire.”

“Mon triste coeur bave à la poupe.”