“Si je n'aime pas une chose, je ne l'aime pas, voilà tout; et rien au monde ne me fera l'aimer, parce que la grande majorité de mes contemporains l'aime, ou fait semblant de l'aimer. Mes goûts et mes aversions ne suivent pas la mode.”

—  Jack London

Martin Eden

Dernière mise à jour 21 mai 2020. L'histoire
Thèmes
semblant , tout , contemporain
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Jack London 12
écrivain américain 1876–1916

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“Celui qu'on aime a tout droit contre vous, même de ne plus vous aimer.”

Romain Rolland (1866–1944) écrivain français

Jean-Christophe, 1904-1912

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“Je n'ai jamais aimé un peuple. Pourquoi devrais-je aimer les juifs? Je n'aime que mes amis, c'est tout! C'est le seul et unique amour dont je suis capable.”

Hannah Arendt (1906–1975) philosophe américaine d'origine allemande

Hannah Arendt (film), 2013

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“Amoureux de la nature, ou quelque chose
Je n'ai rien
de particulier.

J'aime tout
ce que fait le ciel
à n'importe quel moment.”

Richard Brautigan (1935–1984) écrivain américain

Pourquoi les poètes inconnus restent inconnus, 2003

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“J'appelle charité, l'amour de ce qui n'est pas inférieur à celui qui aime [littéralement : lorsque les choses qui sont aimées ne doivent pas être tenues pour négligeables en comparaison de celui qui aime], c'est-à-dire ce qui est éternel, et qu'on peut aimer éternellement. Dieu donc et l'âme qui aime Dieu [littéralement : Dieu, donc et l'âme, lorsqu'ils sont aimés], voilà la charité dans son état le plus pur et le plus parfait, s'il ne s'y mêle point d'autre amour [littéralement : si rien d'autre n'est aimé]; on l'appelle aussi la dilection. Mais lorsque Dieu est plus aimé que l'âme, au point que l'homme aime mieux être à Dieu qu'à lui-même, c'est alors qu'il est dans la voie du souverain bien pour son âme, et conséquemment pour son corps; puisque nous n'avons plus aucun souci de satisfaire aucun désir, prenant les choses à tout hasard et comme elles se présentent. Or, le poison de la charité, c'est le désir d'acquérir ou de conserver les biens temporels. Son aliment, c'est la diminution de la cupidité; sa perfection, l'extinction de la cupidité. Le signe de son progrès, c'est de craindre peu; le signe de sa perfection, c'est de ne rien craindre, « car la cupidité est la racine de tous les maux, comme la parfaite dilection chasse toute crainte; »”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

I Tim., VI, 10; I Jean, IV, 18.
Caritatem voco qua amantur ea quæ non sunt præ ipso amante contemnenda, id est, quod æternum est et quod amare ipsum æternum potest. Deus igitur et animus cum amantur, caritas proprie dicitur, purgatissima et consummata, si nihil aliud amatur; hanc et dilectionem dici placet. Sed cum Deus magis diligitur quam animus, ut malit homo ejus esse quam suus, tunc vere animo summeque consulitur, consequenter et corpori, nobis id non curantibus aliquo appetitu satagente, sed tantum promta et oblata sumentibus. Caritatis autem venenum est spes adipiscendorum aut retinendorum temporalium; nutrimentum ejus est imminutio cupiditatis; perfectio nulla cupiditas. Signum provectus ejus est imminutio timoris; signum perfectionis ejus nullus timor, quia et radix est omnium malorum cupiditas (1 Tim 6, 10); et consummata dilectio foras mittit timorem (1 Io 4, 18.)
la
Citations de saint Augustin, Quatre-vingt trois questions diverses

“Tout amant est un peu le prince du conte si ses embrassements éveillent l'aimée à un monde neuf.”

Robert Guyon (1941)

Cette citation concerne de nouveau l'enquête initiée par la revue surréaliste La Brèche en décembre 1964 engageant le thème des représentations érotiques. [Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, Robert Guyon, La Brèche, 8, Novembre 1965, 106]
Réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, 1965

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