“De ton rêve trop plein,
fleur en dedans nombreuse,
mouillée comme une pleureuse,
tu te penches sur le matin.
Tes douces forces qui dorment,
dans un désir incertain,
développent ces tendres formes
entre joues et seins.”
The Complete French Poems of Rainer Maria Rilke
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“Puisses-tu dormir sur le sein de la douce amie qui te ressemble ! ...”
grc
Fragment 126.
Autres fragments

Mémoires pour l’instruction du Dauphin, Volume 1

Quelqu'un que tu as connu dans une autre vie, chérie. Alors la musique nous prend, la musique abolit les ans et nous dansons.
22/11/63, 2011