“Un lac est le trait le plus beau et le plus expressif du paysage. C'est l'œil de la terre, où le spectateur, en y plongeant le sien, sonde la profondeur de sa propre nature.”

— Henry David Thoreau , livre Walden ou la Vie dans les bois

Walden, ou la vie dans les bois (1854)

Adopté de Wikiquote. Dernière mise à jour 21 mai 2020. L'histoire

Thèmes

nature , traitement , terre , pluie , traité , paysage , profondeur , lac , œil , sonde , sien , spectateur

Henry David Thoreau photo

Henry David Thoreau 31

essayiste, enseignant, philosophe, naturaliste amateur et p… 1817–1862

Citations similaires

“En plongeant dans la personnalité des autres, il oublia la sienne, ce qui est la seule manière peut-être de n'en pas souffrir.”

Gustave Flaubert livre L'Éducation sentimentale

Sentimental Education

Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?

“La beauté est dans l’œil du spectateur, et il peut être nécessaire de temps à autre de donner à un spectateur stupide ou mal informé, un œil au beurre noir.”

Jim Henson (1936–1990) acteur américain

“Il est de ces coïncidences qui, sans émouvoir les paysages, ont cependant plus d'importance que les digues et les phares, que la paix des frontières et le calme de la nature dans les solitudes désertiques à l'heure où passent le explorateurs.”

Robert Desnos (1900–1945) poète français

La Liberté ou l'Amour !, 1927

“Nous exigeons de cet enfant de Sem les beaux traits de la race indo-européenne. Il n'est point perméable à toutes les excitations dont nous affectent notre terre, nos ancêtres, notre drapeau, le mot « honneur ». Il y a des aphasies optiques où l'on a beau voir les signes graphiques, on n'en a plus l'intelligence. Ici l'aphasie est congénitale, elle vient de la race.”

Maurice Barrès (1862–1923) écrivain homme politique français

“Nous exigeons de cet enfant de Sem les beaux traits de la race indo-européenne. Il n'est point perméable à toutes les excitations dont nous affectent notre terre, nos ancêtres, notre drapeau, le mot « honneur ». Il y a des aphasies optiques où l'on a beau voir les signes graphiques, on n'en a plus l'intelligence. Ici l'aphasie est congénitale, elle vient de la race.”

Affaire Dreyfus (1859–1935) militaire français

“Le coeur de l'homme est un abîme de souffrance dont la profondeur n'a jamais été sondée et ne le sera jamais.|précisions = Lettre de Lélia à Trenmor.”

George Sand livre Lélia

Lélia, version de 1833

“On enrichit les langues en les fouillant. Il faut les traiter comme les champs : pour les rendre fécondes, quand elles ne sont plus nouvelles, il faut les remuer à de grandes profondeurs.”

Joseph Joubert (1754–1824) philosophe et essayiste français

Tome 2, De la poésie

“Le monde est un miroir qui renvoie à chacun ses propres traits; si vous froncez le sourcil en le regardant, il vous jette un coup d’œil renfrogné. Riez, au contraire, avec lui, et il se montrera bon compagnon.”

William Makepeace Thackeray La Foire aux vanités

La Foire aux vanités (Vanity Fair), 1848

“Le monde, aujourd'hui, est à la veille sinon de sa propre perte, du moins d'un tournant de l'Histoire qui ne le cède en rien en importance au tournant du Moyen Âge sur la Renaissance : ce tournant exigera de nous une flamme spirituelle, une montée vers une nouvelle hauteur de vues, vers un nouveau mode de vie où ne sera plus livrée à la malédiction, comme au Moyen Âge, notre nature physique, mais où ne sera pas non plus foulée aux pieds, comme dans l'ère moderne, notre nature spirituelle.

Cette montée est comparable au passage à un nouveau degré anthropologique. Personne, sur la Terre, n'a d'autre issue que d'aller toujours plus haut.”

Alexandre Soljenitsyne (1918–2008) écrivain russe

Le Déclin du courage

“Dans ce genre d’enlisement, si on ne réagit pas très vite, on n’est plus maître de quoi que ce soit. On devient spectateur de sa propre dérive, et on ne se rend pas compte du gouffre en train de se refermer sur soi pour toujours…”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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