“Une femme fait de toute maison un perpétuel été.”
La Rue obscène, 1971
L’Esprit et la Pensée (On Mind and Thought), 1993
“Une femme fait de toute maison un perpétuel été.”
La Rue obscène, 1971
“Le monde n’est qu’une balançoire perpétuelle. Toutes choses y balancent sans cesse.”
“Tout amant est un peu le prince du conte si ses embrassements éveillent l'aimée à un monde neuf.”
Cette citation concerne de nouveau l'enquête initiée par la revue surréaliste La Brèche en décembre 1964 engageant le thème des représentations érotiques. [Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, Robert Guyon, La Brèche, 8, Novembre 1965, 106]
Réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, 1965
“À qui dédier, tout neuf, ce joli petit livre, qu'une sèche pierre ponce a récemment poli?”
Cui dono lepidum novum libellum
Arido modo pumice expolitum ?
la
Premiers vers du premier poème. La pierre ponce était utilisée pour ébarber les extrémités du rouleau de papyrus (volumen) une fois qu'on avait terminé d'écrire le livre.
Source: Édition citée, page 2, note 1.
L'évolution psychologique de l'enfant, 1941
My pussy has nine lives.
en
Années 1990, Extraits de son livre SEX
“« Par les neuf milliards de perversions du christianisme, qu'est-ce que c'est que cette horreur »?”
Trilogie de Gaïa, Démon (1985)
“Mon but n'est pas de penser neuf mais de penser juste.”
Traité du désespoir et de la béatitude