“Un américain repèrera toujours le drugstore du coin, tout indiscernable qu'il puisse être pour un Boschiman.”

—  Kevin Lynch

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L'Image de la cité

Adopté de Wikiquote. Dernière mise à jour 21 mai 2020. L'histoire
Thèmes
américain , bien-être , être , coin , tout
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Kevin Lynch 12
1918–1984

Citations similaires

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“Alors, qui joue le rôle du papa dans la société américaine? Un être carré, moralisateur, dissipé parfois, toujours présent : le poste de télévision.”

Amanda Sthers (1978) auteur dramatique, scénariste, parolière

Les Érections américaines (2013)

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“Je ne suis pas une vraie lesbienne, le mâle me récupère toujours au coin du bois du lit!”

Maud de Belleroche (1922–2017) actrice, femme de lettres et journaliste française

Ouvrages, L'Ordinatrice ? (1968)

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“Votre lettre était mignonne comme tout, l'ami, et votre interprétation tout à fait typique de ces imbéciles à qui l'on doit la pourriture sèche de la presse américaine, mais ce n'est pas parce que vous ne m'invitez pas que je ne vais pas venir dans votre coin. Une fois que j'y serai, faites-moi penser à, premièrement, vous latter les dents à coup de pied et, deuxièmement, à vous carrer une plaque de bronze bien profond dans l'intestin grêle.”

Hunter S. Thompson (1937–2005) journaliste et écrivain américain

Lettre datée du 30 août 1959 adressée à William J. Kennedy (Kennedy était alors rédacteur en chef du San Juan Star à Porto Rico, et dut d'abord répondre par refus à la demande d'embauche de Thompson, dans laquelle il faisait allusion à une conception du journalisme de Joseph Pulitzer dont un extrait est reproduit sur une plaque de bronze figurant sur la tour du Times à New York. Kennedy répondra par une proposition dans une lettre qu'il signera "Intestinalement vôtre, William J. Kennedy". La correspondance entre les deux hommes durera plus de quarante ans, N.D.L.R.)
Correspondance, 1959

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“Tout ce qui existe doit être vaincu afin que puisse exister ce qui est nouveau.”

Franz Werfel (1890–1945) écrivain autrichien

L'étoile de ceux qui ne sont pas nés , 1945

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“Ce qui me frappa [chez les Américains], c'est la grande influence du Noir, influence psychologique naturellement sans mélange de sang. L'expression émotionnelle de l'Américain, particulièrement sa façon de rire, peut être étudiée le mieux dans les suppléments des journaux américains; ce rire inimitable de Roosevelt, vous le trouverez dans sa forme primitive chez le Noir américain. La démarche particulière avec les articulations relativement lâches ou bien la hanche balancée que l'on observe si souvent chez les Américains proviennent du Noir américain. La musique américaine a pris au Noir sa principale inspiration tout comme la danse. […] La vivacité de l'Américain moyen, qui se manifeste non seulement au jeu de baseball, mais tout particulièrement par un amour extraordinaire de l'expression verbale — le flot perpétuel et sans limite de bavardages qui caractérisent les journaux américains en est l'exemple le plus marquant — ne peut guère dériver des ancêtres germaniques, mais ressemble surtout au « bavardage » du village africain. […] Ainsi l'Américain nous présente l'image singulière d'un Européen avec le comportement d'un Noir et l'âme d'un Indien.”

Carl Gustav Jung (1875–1961) Médecin psychiatre suisse qui crée la psychologie analytique

Another thing that struck me was the great influence of the Negro, a psychological influence naturally, not due to the mixing of blood. The emotional way an American expresses himself, especially the way he laughs, can best be studied in the illustrated supplements of the American papers; the inimitable Teddy Roosevelt laugh is found in its primordial form in the American Negro. The peculiar walk with loose joints, or the swinging of the hips so frequently observed in Americans, also comes from the Negro. American music draws its main inspiration from the Negro, and so does the dance. […] The vivacity of the average American, which shows itself not only at baseball games but quite particularly in his extraordinary love of talking - the ceaseless gabble of American papers is an eloquent example of this - is scarcely to be derived from his Germanic forefathers, but is far more like the chattering of a Negro village. […] Thus the American presents a strange picture: a European with Negro behaviour and an Indian soul.
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