“La nuit pénètre dans le laboratoire sous l’aspect d’une femme nue et pâle sous un large manteau d’astrakan. Ses cheveux blonds et coupés font une lueur vaporeuse autour de son fin visage. Elle pose la main sur le front de l’ingénieur et celui-ci sent couler une mystérieuse fontaine sous la muraille de ses tempes tourmentées par les migraines.”
La Liberté ou l'Amour !, 1927
Citations similaires

Alcools
Variante: Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Recueil de nouvelles, Soleil des loups, 1951, L’Archéologue

“Le parc, à cette heure, étendait ses mains blondes au-dessus de la fontaine magique.”
Poisson soluble, 1924

La Culotte en jersey de soi, Renée Dunan, Le Cercle Poche, 2011, 1923, 242, 978-2-84714-152-8, La Gazelle chassée
La Culotte en jersey de soi, 1923

Extraits d'un volume de Rêves (1846)