“« On jetait indifféremment sur la même paille et sous les mêmes verrous, » raconte M. Beugnot, la duchesse de Grammont et une voleuse de mouchoirs, Mme Roland et une misérable des rues, une bonne religieuse et une habituée de la Salpêtrière. Cet amalgame avait cela de cruel pour les femmes élevées, qu’il leur faisait subir le spectacle journalier de scènes dégoûtantes. Nous étions réveillés toutes les nuits par les cris des malheureuses qui se déchiraient entre elles. La chambre où habitait Mme Roland était devenue l’asile de la paix au sein de cet enfer.”
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Madame Roland
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