“La patrie est aux lieux où l’on a des amis.”

“Qu’est-ce qui fait qu’on s’attache à sa patrie? L’habitude, les racines, les parents, les amis? Je crois qu’on ne naît pas dans un pays par hasard. Si on naît quelque part, c’est pour appartenir à ce lieu, même si les vicissitudes de l’existence nous en éloignent.”

“Il y a des moments où on a vraiment besoin de ses amis.”

“Où est l'amitié est la patrie.”

“Ces magistrats, qui ne veillent que pour une partie des citoyens, introduisent dans l'État un dangereux fléau, la sédition et la discorde; les uns passent alors pour amis du peuple, les autres pour défenseurs de l'aristocratie; la patrie n'a presque plus de citoyens.”

“Une patrie qui a trahi ses soldats, est-ce vraiment la Patrie?”

“Le lieu où l’on attend la mort n’a pas besoin d’être vaste.”

“Dans la mesure où chaque chose a son lieu, son moment et sa durée, il n’y a jamais deux choses semblables.”

“Un ami te déçoit? Il cesse d’être ton ami. Le pays te déçoit? Il cesse d’être ton pays. Et comme tu as la déception facile, tu finiras par te retrouver sans amis, sans patrie. J’aimerais tant que mes paroles aient un quelconque effet sur toi. Qu’elles puissent te persuader de te montrer tolérant avec ce pays, de l’accepter comme il est. Ce sera toujours un pays de factions, de désordre, de passe-droits, de népotisme, de corruption. Mais c’est aussi le pays de la douceur de vivre, de la chaleur humaine, de la générosité. Et de tes amis les plus vrais.”

“Bien sûr, on ne peut nommer valeur le fait de tuer les citoyens de sa patrie, de trahir ses amis, d'être parjure, impitoyable et impie; ces manières de faire peuvent donner du pouvoir, mais non de la gloire.”