
Le désespoir lui-même, pour peu qu'il se prolonge, devient une sorte d'asile dans lequel on peut s'asseoir et reposer.
"Vie de Joseph Delorme" (1829), cited from Poésies completes de Sainte-Beuve (Paris: Charpentier, 1840) p. 16; Mardy Grothe Oxymoronica (London: HarperCollins, 2004) p. 201.