“Comment le capital trouve sa substance et son essence dans le travail vivant, de telle manière qu’il provient exclusivement de lui, ne peut se passer de lui, ne vit que pour autant qu’il puise à chaque instant sa vie dans celle du travailleur, vie qui devient ainsi la sienne, c’est ce qu’exprime à travers toute l’œuvre de Marx le thème du vampire.”
« Le capital est du travail mort qui, semblable au vampire, ne s’anime qu’en suçant le travail vivant et sa vie est d’autant plus allègre qu’il en pompe davantage ».
Marx II. une philosophie de l'économie, 1976
Citations similaires

Une approche fractale des marchés, 2005

La terre, la mer, les étoiles sont des choses. Les plantes, les arbres, les végétaux en général sont également des choses, à moins qu'on ne fasse apparaître en eux une sensibilité au sens transcendantal, c'est-à-dire cette capacité de s'éprouver soi-même et de se sentir soi-même qui ferait justement d'eux des vivants -- non plus au sens de la biologie mais au sens d'une vie véritable, laquelle est la vie phénoménologique absolue dont l'essence consiste dans le fait même de se sentir ou de s'éprouver soi-même et n'est rien d'autre --, ce que nous appellerons encore une subjectivité.
Livres sur la culture et la barbarie, La Barbarie, 1987

La Civilisation des Arabes (1884)

Lettre de Fernando Pessoa à son « Opheline », Ofélia Queiroz