“Comment pouvez-vous mesurer la performance artistique en pouces?”

“Vous pouvez mesurer la perspective d’un programmeur par son attitude par rapport à la vitalité persistante de FORTRAN.”

“Je crois qu'en tant qu'artiste martial, même si vous ne pouvez pas gagner un combat, vous devriez être capable de ne pas pouvoir mourir ou perdre.”

“En aimant tant la gloire, comment pouvez-vous vous obstiner à un projet qui vous la fera perdre?”

“Comment, avec votre bon sens, pouvez-vous être aussi loyalement aveuglée sur la sottise d’autrui? Il n’y a que vous qui ayez assez de candeur pour ne voir jamais chez les gens que leur bon côté…”

“Je tournerai sept fois mon pouce avant de tweeter!”

“Je gagne 50 cents quand je me montre… et les 50 autres correspondent à ma performance.”

“J'entends les gens parler du Festival de jazz, dire comment c'est passionnant. Montréal était comme ça tous les jours dans les années 40 et 50. Vous pouviez vous lever en pleine nuit, sortir et avoir du bon temps. Montréal était la Mecque du divertissement pour les artistes surtout les artistes noirs.”

“Mais dans la vie, tout n'est pas parfait. Parfois, il faut se fabriquer sa propre histoire. Donner un petit coup de pouce au destin, tu comprends?”

“L’image irrésistible de la propagande commerciale de la Société générale, c’est le gentil pouce qui, en toute occasion, fait le geste souteneur, voire salvateur. A l’époque, découvrant le nouveau symbole de l’établissement financier, mon esprit mal placé a immédiatement dérapé : pas besoin d’un grand écart pour que le coup de pouce se transmue en doigt mal placé.”