Paul Langevin, La Notion de Corpuscules et d'Atomes, Hermann, Paris, 1934, p.45.
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Connectez-vous pour passer en revue“La peinture abstraite est abstraite. Cela vous confronte. Il y a quelque temps, un critique a écrit que mes photos n'avaient pas de début ni de fin. Il ne le pensait pas comme un compliment, mais c'en était un. C'était un beau compliment. Seulement, il ne le savait pas.”
Original
Abstract painting is abstract. It confronts you. There was a reviewer a while back who wrote that my pictures didn't have any beginning or any end. He didn't meant it as a compliment, but it was. It was a fine compliment. Only he didn't know it.
In 'Unframed Space' interview with Berton Roueché, The New Yorker (5 August 1950); as quoted in The Grove Book of Art Writing: Brilliant Words on Art from Pliny the Elder to Damien Hirst ed. Martin Gayford and Karen Wright [Grove Press, 2000, ISBN 0-802-13720-2], p. 546
1950's
Citations similaires
Livres sur la culture et la barbarie, Voir l'invisible. Sur Kandinsky, 1988
Tome 1, De la philosophie, de la métaphysique, des abstractions, de la logique, des systèmes
Paul Langevin, La Notion de Corpuscules et d'Atomes, Hermann, Paris, 1934, p.44-46.
Extrait d'un discours prononcé à l'occasion du cinquantenaire de l'École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris.