Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?

Connectez-vous pour passer en revue

“J'aime les délais. J'aime le bruit qu'ils font lorsqu'ils volent.”

Original

I love deadlines. I like the whoosing sound they make as they fly by.

Variante: I love deadlines. I love the whooshing noise they make as they go by.
Source: The Salmon of Doubt (2002)

Dernière mise à jour 14 octobre 2019. L'histoire
Thèmes
fonte , bruit , délai
Douglas Adams photo
Douglas Adams 15
écrivain anglais de science-fiction 1952–2001

Citations similaires

Anna Gavalda photo

“J’aime les gens qui prennent leur vie en main, moi! Je n’aime pas les feignants qui se font plaindre.”

Anna Gavalda (1970) écrivaine française

95 Pounds of Hope

Francis Carco photo
Amin Maalouf photo
Francis Picabia photo
Céline Dion photo
Arthur Schopenhauer photo
Steven Pinker photo

“La vie est une série de délais.”

Steven Pinker (1954) psychologue cognitiviste canadien

Comment fonctionne l'esprit, 1997

Colette photo
Guy de Maupassant photo

“J’aime beaucoup les cimetières, moi, ça me repose et me mélancolise j’en ai besoin. Et puis, il y a aussi de bons amis là dedans, de ceux qu’on ne va plus voir; et j’y vais encore, moi, de temps en temps.
Justement, dans ce cimetière Montmartre, j’ai une histoire de cœur, une maîtresse qui m’avait beaucoup pincé, très ému, une charmante petite femme dont le souvenir, en même temps qu’il me peine énormément, me donne des regrets… des regrets de toute nature. Et je vais rêver sur sa tombe… C’est fini pour elle.
Et puis, j’aime aussi les cimetières, parce que ce sont des villes monstrueuses, prodigieusement habitées. Songez donc à ce qu’il y a de morts dans ce petit espace, à toutes les générations de Parisiens qui sont logés là, pour toujours, troglodytes définitifs enfermés dans leurs petits caveaux, dans leurs petits trous couverts d’une pierre ou marqués d’une croix, tandis que les vivants occupent tant de place et font tant de bruit, ces imbéciles.
Me voici donc entrant dans le cimetière Montmartre, et tout à coup imprégné de tristesse, d’une tristesse qui ne faisait pas trop, de mal, d’ailleurs, une de ces tristesses qui vous font penser, quand on se porte bien : « Ça n’est pas drôle, cet endroit-là, mais le moment n’en est pas encore venu pour moi… »
L’impression de l’automne, de cette humidité tiède qui sent la mort des feuilles et le soleil affaibli, fatigué, anémique, aggravait en la poétisant la sensation de solitude et de fin définitive flottant sur ce lieu, qui sent la mort des hommes.”

Guy de Maupassant (1850–1893) écrivain français

La Maison Tellier

Adolf Hitler photo

Avec