
The Tragic Sense of Life (1913), Conclusion : Don Quixote in the Contemporary European Tragi-Comedy
De poetas no digo: buen siglo es éste. Muchos están en ciernes para el año que viene; pero ninguno hay tan malo como Cervantes ni tan necio que alabe a don Quijote.
Letter dated August 14, 1604; cited from Nicolás Marín (ed.) Cartas (Madrid: Clásicos Castalia, 1985) p. 68. Translation by Ilsa Barea, from Sebastià Juan Arbó Cervantes: Adventurer, Idealist, and Destiny's Fool (London: Thames and Hudson, 1955) p. 204.
De poetas no digo: buen siglo es éste. Muchos están en ciernes para el año que viene; pero ninguno hay tan malo como Cervantes ni tan necio que alabe a don Quijote.
A pesar de la temporal enemistad, después de la muerte de Cervantes Lope de Vega alabó su obra.
Source: [Jaramillo Antillón], Juan. Lo Humano de Los Genios. Editorial Universidad de Costa Rica, 2003. ISBN 9789977677217, p. 64.
Source: Lope de Vega, Cartas (Madrid: Clásicos Castalia, 1985), p. 68.
The Tragic Sense of Life (1913), Conclusion : Don Quixote in the Contemporary European Tragi-Comedy
“Don Quixote — I read that every year, as some do the Bible.”
Paris Review interview (1958)
“All poets write bad poetry. Bad poets publish them, good poets burn them.”
The Tragic Sense of Life (1913), Conclusion : Don Quixote in the Contemporary European Tragi-Comedy
Ce que les poètes, les orateurs, même quelques philosophes nous disent sur l'amour de la Gloire, on nous le disait au Collège, pour nous encourager à avoir les prix. Ce que l'on dit aux enfants pour les engager à préférer à une tartelette les louanges de leurs bonnes, c'est ce qu'on répète aux hommes pour leur faire préférer à un intérêt personnel les éloges de leurs contemporains ou de la postérité.
Maximes et Pensées, #85
Reflections
"Lettre XII: sur M. Pope et quelques autres poètes fameux," Lettres philosophiques (1756 edition)
Variants:
He looked on everything as imitation. The most original writers, he said, borrowed one from another. Boyardo has imitated Pulci, and Ariofio Boyardo. The instruction we find in books is like fire; we fetch it from our neighbour, kindle it as home, communicate it to others, and it becomes the property of all.
Historical and Critical Memoirs of the Life and Writings of M. de Voltaire (1786) by Louis Mayeul Chaudon, p. 348
What we find in books is like the fire in our hearths. We fetch it from our neighbors, we kindle it at home, we communicate it to others, and it becomes the property of all.
As translated in Geary's Guide to the World's Great Aphorists (2008), by James Geary, p. 373
Original: (fr) Ainsi, presque tout est imitation. L’idée des Lettres persanes est prise de celle de l’Espion turc. Le Boiardo a imité le Pulci, l’Arioste a imité le Boiardo. Les esprits les plus originaux empruntent les uns des autres. Michel Cervantes fait un fou de son don Quichotte; mais Roland est-il autre chose qu'un fou? Il serait difficile de décider si la chevalerie errante est plus tournée en ridicule par les peintures grotesques de Cervantes que par la féconde imagination de l'Arioste. Métastase a pris la plupart de ses opéras dans nos tragédies françaises. Plusieurs auteurs anglais nous ont copiés, et n'en ont rien dit. Il en est des livres comme du feu de nos foyers; on va prendre ce feu chez son voisin, on l’allume chez soi, on le communique à d’autres, et il appartient à tous.
“A heap of epithets is poor praise: the praise lies in the facts, and in the way of telling them.”
Amas d'épithètes, mauvaises louanges: ce sont les faits qui louent, et la manière de les raconter.
Aphorism 13
Les Caractères (1688), Des Ouvrages de l'Esprit
Reflections on Various Subjects (1665–1678), V. On Conversation